J’ai découvert cette semaine un moyen infaillible de déterminer si j’aime ce que je fais et si cela me tient à cœur.
Lorsque j’étais coordonnatrice technique pour une compagnie dans le domaine de l’architecture, j’étais de celle qui faisait bouger les choses. J’avais plusieurs chevaux de bataille, je m’impliquais autant dans les projets d’améliorations que dans les activités sociales. Je me disais, en ce temps là, que ceux qui n’aimaient pas leur job, faisaient en sort que ce soit ainsi en ne s’impliquant pas, en ne développant pas une appartenance à la compagnie. Puis je suis tombée malade, à ce moment, ma priorité est bien sûr devenue ma santé et j’ai dû laisser tomber quelques batailles pour mettre mes énergies où j’en avais vraiment besoin. J’ai pensé longtemps que mon implication avait pu faire en sorte que je tombe malade par le stress et l’hyperactivité.
Alors lorsque j’ai repris le travail, je ne me suis pas impliquée autant, sinon pas du tout. Tout ce que je voulais c’était faire mon job et retourner chez nous. En plus, à aucun moment en dehors de mon job, je ne parlais de celui-ci. Quand je sortais de là c’était terminé. J’ai tôt fait de me rendre compte que cette façon de fonctionner n’alimentait aucune flamme et que le goût d’aller travailler s’en ressentait. J’ai donc essayé de m’impliquer un peu plus, de m’intéresser à ce qui se faisait dans la compagnie. Mais, oh surprise, rien n’y faisait, ça ne m’intéressait pas. J’ai d’abord pensé que j’étais rendue négative et que je ne faisais pas suffisamment d’efforts puis il y a eu ce remplacement. En deux semaines pour l’OSBL, j’ai appris plus qu’en un an pour l’autre compagnie. En deux semaines, je me suis plus intéressée à ce qui se passait sur le lieu de mon travail qu’en un an. En deux semaines, j’ai déjà retrouvé la flamme qui brûlait en moi dans le temps. Dèjà cette OSBL fait plus partie de mes discussions que cette compagnie qui a fait partie de ma vie pendant un an.
Tout cela c’est fait seul sans que j’aie vraiment à forcer quoi que ce soit. Tout cela a repris son chemin, sa voie sans que j’aie à faire les efforts que je tentais de faire à mon autre emploi. J’ai alors compris l’expression : le cœur à ses raisons que la raisons ne connaît pas. Bien que j’aimais la claironner à gauche et à droite, je n’avais jamais vraiment mesuré son implication dans ma vie. Parfois il ne faut pas tenter de comprendre et parfois même avec toute la volonté du monde, notre place n’est tout simplement pas là où l’on est. Et je vous jure que je préfère cent fois adorer mon emploi et aimer m’y impliquer que d’en être indifférente. Et que cette énergie dépensée à m’impliquer n’est en rien perdue puis qu’elle m’ait rendu en joie de vivre et en flamme au cœur.
Lorsque j’étais coordonnatrice technique pour une compagnie dans le domaine de l’architecture, j’étais de celle qui faisait bouger les choses. J’avais plusieurs chevaux de bataille, je m’impliquais autant dans les projets d’améliorations que dans les activités sociales. Je me disais, en ce temps là, que ceux qui n’aimaient pas leur job, faisaient en sort que ce soit ainsi en ne s’impliquant pas, en ne développant pas une appartenance à la compagnie. Puis je suis tombée malade, à ce moment, ma priorité est bien sûr devenue ma santé et j’ai dû laisser tomber quelques batailles pour mettre mes énergies où j’en avais vraiment besoin. J’ai pensé longtemps que mon implication avait pu faire en sorte que je tombe malade par le stress et l’hyperactivité.
Alors lorsque j’ai repris le travail, je ne me suis pas impliquée autant, sinon pas du tout. Tout ce que je voulais c’était faire mon job et retourner chez nous. En plus, à aucun moment en dehors de mon job, je ne parlais de celui-ci. Quand je sortais de là c’était terminé. J’ai tôt fait de me rendre compte que cette façon de fonctionner n’alimentait aucune flamme et que le goût d’aller travailler s’en ressentait. J’ai donc essayé de m’impliquer un peu plus, de m’intéresser à ce qui se faisait dans la compagnie. Mais, oh surprise, rien n’y faisait, ça ne m’intéressait pas. J’ai d’abord pensé que j’étais rendue négative et que je ne faisais pas suffisamment d’efforts puis il y a eu ce remplacement. En deux semaines pour l’OSBL, j’ai appris plus qu’en un an pour l’autre compagnie. En deux semaines, je me suis plus intéressée à ce qui se passait sur le lieu de mon travail qu’en un an. En deux semaines, j’ai déjà retrouvé la flamme qui brûlait en moi dans le temps. Dèjà cette OSBL fait plus partie de mes discussions que cette compagnie qui a fait partie de ma vie pendant un an.
Tout cela c’est fait seul sans que j’aie vraiment à forcer quoi que ce soit. Tout cela a repris son chemin, sa voie sans que j’aie à faire les efforts que je tentais de faire à mon autre emploi. J’ai alors compris l’expression : le cœur à ses raisons que la raisons ne connaît pas. Bien que j’aimais la claironner à gauche et à droite, je n’avais jamais vraiment mesuré son implication dans ma vie. Parfois il ne faut pas tenter de comprendre et parfois même avec toute la volonté du monde, notre place n’est tout simplement pas là où l’on est. Et je vous jure que je préfère cent fois adorer mon emploi et aimer m’y impliquer que d’en être indifférente. Et que cette énergie dépensée à m’impliquer n’est en rien perdue puis qu’elle m’ait rendu en joie de vivre et en flamme au cœur.
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